Lucile Woodward, Marine Leleu… quels influenceurs fitness parlent le plus d’inclusivité

Lucile Woodward, Marine Leleu… quels influenceurs fitness parlent le plus d’inclusivité

Instagram. Au début de l’année 2021, Reebok a mené une enquête sur Instagram. La marque a souhaité savoir quels étaient les créateurs de contenu spécialisés dans le fitness à parler le plus de body positive. L’enseigne est parti du constat qu’un mouvement était né sur la plateforme avec comme objectif principal de mettre plus en valeur l’inclusivité. Est-ce qu’en France, les influenceurs fitness suivent le mouvement?

D’après l’étude que vous pouvez retrouver ici, en Europe, le Royaume-Uni est le grand gagnant. 8,37% des posts des 10 créateurs de contenu les plus influents dans le fitness traitent du sujet de l’inclusivité. En France, ce pourcentage tombe à 4,30%. Pourtant, selon Jenna Rigby coach en transformation corporelle, il est important d’aborder ces sujets sur les plateformes sociales. « La notion de perfection a évolué sur les réseaux sociaux. Alors qu’il y a dix ans un influenceur fitness n’affichait que de jolies photos de ses entraînements, aujourd’hui les gens recherchent des influenceurs plus « authentiques » à suivre. Ils souhaitent trouver d’autres mamans, des femmes âgées… qui leur ressemblent et qui prouvent que ce mode de vie est possible et non inaccessible », indique-t-elle.

Le top 10 des influenceurs fitness inclusifs en France

Même si la France reste une mauvaise élève en la matière, Reebok a mis en évidence le top 10 des profils fitness qui parlent de cette thématique. Le top 3 est occupée par Stessie avec 10,75% de posts liés au bodypositive. Elle est suivie par Lucile Woodward avec 10,10% de ses publications consacrées à ce sujet. L’écart se creuse avec la troisième place où se situe Marine Leleu avec 5,95% de ses posts traitant du bien-être pour tous les types de corps. Des créateurs de contenu comme Jujufitcats, Tibo InShape ou encore Sissy Mua et Fitwini ferment le classement.

influenceurs fitness france

Reebook conclut que la France a du mal à suivre le mouvement. Que ça soit sur les réseaux sociaux ou dans la presse, le body positive est encore très peu abordé.

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