Ouest-France met en avant les influenceurs du Morbihan deux fois par mois
Influenceurs. Tous les influenceurs ne vivent pas à Dubaï, ne gagnent pas des millions d’euros sur les réseaux sociaux et ne parlent pas de sujets futiles. En 2022, il est malheureusement encore courant de devoir casser ce cliché. Ces derniers temps, de grands médias se sont emparés du sujet pour parler du secteur et des créateurs de contenu de la meilleure des manières. Le Parisien multiplie les articles concernant les stars de télé-réalité. Courrier International se concentre sur les initiatives qui ont lieu dans le monde entier, menées par des influenceurs.
En cette fin du mois d’octobre, c’est Ouest-France qui a annoncé l’arrivée d’une rubrique d’influenceurs morbihannais. Toutes les deux semaines, les lecteurs pourront retrouver des profils réunissant une certaine communauté sur les réseaux sociaux. « Dissipons d’emblée un (éventuel) malentendu: les femmes et les hommes du Morbihan auxquels Ouest-France s’est intéressé ne sont pas des vendeurs de vide, prescripteurs de bling-bling dans un paradis fiscal. Non, ces « influenceurs » sont surtout des passionnés qui ont réussi à créer autour d’eux une communauté fidèle sur les réseaux sociaux, qui leur reconnaît un talent, une expertise, un ton. Sans forcément s’enrichir au passage », précise d’emblée la rédaction dans un article.
Avec ces portraits présentés un dimanche sur deux, Ouest-France souhaite mettre en avant les Morbihannais qui sont présents sur les réseaux sociaux avec de bonnes attentions. L’idée est de comprendre leur démarche et ce qu’ils font sur ces plateformes. Différentes thématiques y seront évoquées: couture, cuisine, bricolage, la vie de famille ou la vie quotidienne. Les premiers à être présents dans cette nouvelle rubrique s’appellent Superama et L’Extraordinaire Marcel.
Le premier a lancé une chaîne YouTube sur l’astronomie. Le second compte est tenu par la maman de Marcel qui est né avec un chromosome 21. « Cette série est donc l’occasion de porter un autre regard sur celles et ceux qui engagent leur temps et leur image sur les réseaux sociaux, pour y défendre une passion, avec sérieux ou légèreté », conclut Ouest-France.