Bruno Maltor lance sa marque de vêtements pour rassembler les voyageurs

Bruno Maltor lance sa marque de vêtements pour rassembler les voyageurs

Influenceurs. Les marques imaginées par les influenceurs se suivent, mais ne se ressemblent pas. Après la marque de skincare de Noholita ou encore celle de beauté de Sananas, place à celle de Bruno Maltor. Le vidéaste voyage a partagé un projet sur lequel il travaille depuis plus d’un an dans sa dernière vidéo YouTube. « Ce projet est un gang, une tribu, une marque, une famille pour les voyageurs francophones qui ont des valeurs communes », détaille-t-il en introduction de son contenu.

Bruno Maltor a décidé durant le confinement de se lancer dans une aventure qui lui faisait envie depuis des années: imaginer sa propre marque de vêtements. Depuis plus de cinq ans, le créateur de contenu cherche à rassembler toujours plus de voyageurs pour qu’ils échangent entre eux leurs conseils et astuces. « Mon but a toujours été de faire se rencontrer les gens en vrai », tient-il à préciser. C’est de cette manière qu’il a créé le verre du voyageur. Lors d’une soirée, tous les inscrits se rencontrent pour parler voyage. Avec la crise sanitaire, cet événement a été ralenti et un autre a stimulé le blogueur.

Bruno Maltor imagine sa marque de vêtements pour les voyageurs

L’objectif est simple, et ce n’est pas seulement d’habiller les voyageurs francophones. Il souhaite rassembler toute une communauté de passionnés autour de trois valeurs: bienveillance, humilité, curiosité. Les clients pourront ensuite se reconnaître et échanger durant leurs voyages. « Je me suis dit au fil de ces dernières années, qu’il n’y avait pas de marques qui justement arrivaient à faire en sorte que les gens se rassemblent et que les gens se reconnaissent en voyage », se justifie le créateur de contenu.

Les vêtements (bonnets, pulls, tee-shirts…) seront disponibles à partir du 10 octobre. « Tous les vêtements sont faits en Europe. Certains sont mêmes faits en France à partir de matières recyclées ou de coton bio », confie Bruno Maltor. Pour le moment, il n’a pas précisé le nom de la marque, ni les pièces accessibles ou encore leurs prix. Il faudra patienter plusieurs jours avant de tout savoir…

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