Pourquoi Squeezie fait une pause de plusieurs mois sur sa chaîne YouTube principale

YouTube. L’information avait bien été partagée, avant de repartir dans les oubliettes, aussi vite qu’elle était arrivée. Le 18 janvier, quelques jours avant la sortie officielle du documentaire de Squeezie sur Prime Video, Théodore Bonnet passait un message dans une interview avec l’AFP. Le réalisateur de « Merci Internet » précisait que le YouTubeur « pourrait bientôt prendre une “vraie pause” qui s’opérerait “pour plusieurs mois” sur sa chaîne YouTube. » Une information rapidement balayée d’un revers de la main par l’entourage du créateur.

Squeezie ne s’était pas prononcé jusqu’à présent. Sauf ce 22 janvier, où il a publié sur sa chaîne, une vidéo plus qu’explicite baptisée « La dernière avant un moment, merci ». « On va faire une petite pause YouTube. Pas très longue. Deux, trois mois », confie-t-il en plein milieu du contenu, un moment d’échanges qu’il partage avec Théodore Bonnet et Théo Meunier, son monteur. « Vu que le doc sort et que c’était le projet, un peu, de trop, à faire en plus du reste, je veux dire […] On ne voulait pas sortir le doc, cet énorme truc sur lequel on a bossé des années et en même temps, sortir des énormes vidéos sur YouTube. Au bout d’un moment, c’est un peu too much », poursuit le vidéaste.

Cette pause va seulement s’effectuer sur sa chaîne principale. Ce qui ne signifie pas pour autant que Squeezie ne restera pas actif ailleurs. « Vous allez bien vous reposer. Moi j’ai Gentle Mates, les lives et la chaîne gaming que je vais continuer, mais sur la chaîne principale, on a décidé de faire un petit trou de vidéos de deux, trois mois, histoire de se reposer et de se remettre les idées au clair, d’avoir de l’inspiration à nouveau », rassure le créateur. Ses abonnés pourront donc toujours le suivre sur Twitch et sur Squeezie Gaming.

En revanche, son compte principal ne reprendra du service qu’à partir du mois d’avril. Pas de panique, le contenu ne devrait pas changer profondément. Le trio annonce qu’il y aura « de nouveaux formats et des suites d’anciens formats qu’on affectionne particulièrement », concluent-ils.