« 30.000 euros, c’est mon plus gros montant pour un partenariat », explique Charles Sterlings

« 30.000 euros, c’est mon plus gros montant pour un partenariat », explique Charles Sterlings

Social media. En ce début du mois de juin, l’équipe de Les Gens d’Internet vous a présenté l’un de ces nouveaux projets: le lancement de la série de vidéos baptisée « Moneytiser » réalisée en collaboration avec Fortuneo. L’objectif de ces podcasts vidéo est d’aller interviewer les créateurs et créatrices de contenu sur leur rapport aux chiffres et à l’argent. Sur les réseaux sociaux, ils sont entourés de données et leur métier se concentre en majorité sur cet aspect-là. Comment le vivent-ils ? Que peuvent-ils nous dire de leur rapport aux chiffres ?

Pour le premier épisode, nous avons échangé avec Charles Sterlings, créateur de contenu spécialisé dans l’économie et la finance. Il s’est lancé en 2020 sur TikTok, en publiant des vidéos courtes. Aujourd’hui, ce sont plus de 3000 vidéos en français, mais aussi en anglais et en espagnol que l’on peut retrouver sur ses différents réseaux sociaux. Ses contenus ont tous un point commun, c’est qu’ils parlent tous d’argent et de chiffres.

Pour Charles Sterlings, « il y a un manque d’éducation financière, c’est flagrant »

« J’ai la volonté depuis le début de partager des informations liées à l’argent. Et quoi de mieux que pour expliquer un concept compliqué que des chiffres et un cas concret », confie Charles Sterlings dans Moneytiser. Pour aborder des concepts financiers, le créateur de contenu a pris l’habitude de réaliser des mini-sketchs pour emmener sa communauté à mieux comprendre les sujets qu’il aborde. « Il y a un manque d’éducation financière, c’est flagrant. Le rapport à l’argent est très peu abordé. Il faudrait qu’il y ait des cours au collège et au lycée pour juste comprendre la notion. Je pense aussi que beaucoup de gens ont un blocage avec les chiffres », poursuit-il.

De son côté, cette ligne éditoriale très niche lui permet de collaborer régulièrement avec des entreprises du secteur bancaire, des sites de trading ou dans les assurances, comme Les Furets, Sanofi ou Expert Impôts. Depuis son arrivée sur les réseaux sociaux, il dit avoir noué plus de 50 partenariats. « Une fois j’ai travaillé avec une marque, et en cumulé j’avais touché 30.000 euros en moins de 6 mois. Il y avait pas mal de choses comme de la création de contenu vidéo, de l’affiliation ».

Pour découvrir l’ensemble de notre échange, rendez-vous sur la chaîne YouTube Les Gens d’Internet.

Contenu réalisé en partenariat avec Fortuneo.

À voir aussi:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *