Squeezie explique pourquoi il a fermé Yoko, sa marque de vêtements

Squeezie explique pourquoi il a fermé Yoko, sa marque de vêtements

Influence marketing. En 2019, Squeezie a décidé de lancer avec son frère leur propre marque de vêtements: Yoko. Pendant plusieurs années, ils ont proposé une série de collections axées sur leur amour pour le Japon. En janvier 2024, un étrange message s’est affiché sur la page d’accueil de Yoko, annonçant la fin de l’aventure. Mais, le créateur de contenu n’a jamais pris la parole publiquement pour expliquer pourquoi la marque a soudainement et discrètement fermé ses portes. Mais en ce début d’année, il a décidé de donner plus d’explications.

Du 17 au 19 janvier, une vingtaine de streamers ont été invités par Amine pour récolter des fonds pour la bonne cause, lors de son événement « Stream for humanity ». Pour encourager les utilisateurs à donner, chacun des créateurs a élaboré une liste de « sub goals ». Dans celle de Zack Nani, on y retrouve l’enregistrement de son émission phare, Zack en Roue Libre avec Squeezie pour 10.000 euros dans sa cagnotte. Il atteint très rapidement ce montant, et ensemble, ils réalisent l’interview. Dans cet échange, Squeezie explique pourquoi il a pris la décision de fermer Yoko.

« On a sous-estimé le travail que ça représente d’avoir une marque », confie Squeezie sur Yoko

Pour Squeezie, Yoko c’est un accomplissement avec son grand frère, et ils en ont pris soin. Mais, il était difficile pour eux de développer pleinement la marque, car ils ne pensaient pas que cette activité serait aussi chronophage. « On a sous-estimé le travail que ça représente d’avoir une marque », décrit Squeezie. Parmi les défis énoncés par le créateur de contenu, on retrouve le manque de temps, la collaboration avec les usines de production, ou encore la pression de faire des prix abordables. « C’est compliqué économiquement, ça demande un temps fou, c’est des bras de fer avec des usines, c’est de la pression… », affirme-t-il.

Mais, ce n’est pas à cause de toutes ses raisons que Yoko a dû fermer ses portes, c’est aussi à cause du nom de la marque. « Avec le recul, il n’est pas dingue ce nom, c’est très générique », commence-t-il, avant de révéler avoir été attaqué en justice par une marque finlandaise qui a déposé la marque Yoko dans plusieurs pays, dont la France. « C’est ce qui a, en partie, tué Yoko. Mais, ce n’est pas une mauvaise chose, car on avait fini l’époque Yoko », poursuit Squeezie. Même s’il a perdu beaucoup d’argent, il sort grandit de cette expérience, ce qui lui a permis de ne pas reproduire les mêmes erreurs avec le merchandising de Gentle Mates, sa structure d’esport.

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