Influence(s) sur Prime Video, la série sur une agence d’influence française qui voit loin

Influence(s) sur Prime Video, la série sur une agence d’influence française qui voit loin

Influenceurs. En 2024, Prime Video a décidé de miser sur le monde de l’influence, encore plus que ces dernières années. Dans la nouvelle saison de « Lol: qui rit sort », il est possible de retrouver le duo de YouTubeurs Mcfly et Carlito. Squeezie a sorti dans le courant du mois de janvier, son documentaire baptisé « Merci Internet« . Et un troisième projet voit le jour ce 28 février. L’agence de marketing d’influence We Are Influence dévoile également sa série documentaire. Baptisée « Influence(s) », elle est découpée en 6 épisodes de 25 minutes dans laquelle il est possible de suivre l’équipe à plusieurs moments phares de leur année 2023.

Fondée en 2016 par Virginie Godin Berthet Diego El Glaoui, l’agence accompagne aujourd’hui une trentaine de talents en France et à l’international. Une seconde équipe est chargée de concevoir des stratégies social media et influence pour les marques. Au travers de la série, nous suivons We Are Influence sur une période de plusieurs mois pour la voir atteindre un objectif bien précis: faire évoluer l’agence à l’international en recrutant de nouveaux talents, en ouvrant un premier bureau et en signant des premiers contrats étrangers.

We Are Influence à Dubaï, ce n’est que le début

Diego El Glaoui l’explique dès le premier épisode. L’ambition de l’équipe est de « développer l’agence à l’international avec l’ouverture des bureaux à Dubaï et en séduisant des influenceurs internationaux ». Au sein de l’agence, des profils comme Iris Mitteanere ou encore Kenza El Glaoui, la soeur du cofondateur et pionnière dans l’influence, font partie des visages les plus populaires de l’entreprise. Mais pour répondre à l’objectif de l’agence, d’autres talents sont à recruter. Tout au long des épisodes, nous suivons l’arrivée de Pia Wurtzbach, l’ancienne Miss Univers élue en 2015. Réunissant plus de 15 millions d’abonnés, elle va permettre à l’agence de rayonner au-delà de la France et de se faire un nom à l’international.

Pour répondre à cette ambition, Diego El Glaoui et Virginie Godin Berthet ont décidé d’ouvrir un premier bureau à Dubaï. Dans les deux derniers épisodes de la série, nous pouvons suivre l’ouverture de ce lieu et la création des premières équipes. « J’espère que Dubaï est la première expansion internationale avant d’autres », confie le cofondateur. Pour réussir, pas question de voir petit. « On doit signer de gros clients ». Nous pouvons ainsi voir la conception du premier événement de l’agence We Are influence Emirats avec Christofle, une maison spécialisée dans l’art de la table, créée en 1830. Le moyen de se faire un nom et une place en-dehors de Paris en montrant ce qu’il est possible de faire. Mais nous ne verrons rien de ce qui a été pensé pour le marque.

Les coulisses de l’influence dans une série sur Prime Video

Au-delà de cette expansion à Dubaï, We Are Influence a également réalisé un voyage avec cette même ambition: communiquer sur son envie d’aller à l’international. L’ensemble des talents ont été conviés à passer plusieurs jours aux Maldives. « L’agence a besoin de rayonner de manière à pouvoir développer son réseau de clients. On a un deuxième enjeu qui en découle naturellement, c’est de pouvoir se rendre sexy auprès des talents que l’on essaye de faire rentrer chez nous », explique Diego El Glaoui. Un voyage qui a permis à l’agence de travailler son image de marque auprès de profils internationaux, mais qui a aussi reçu de multiples critiques sur les réseaux sociaux.

C’est de cette manière que l’on entre un peu dans les coulisses de l’agence. Il est ainsi possible d’avoir un aperçu de la manière dont la crise est gérée en interne. Au fil des épisodes, il est également possible d’avoir des informations un peu plus précises sur le fonctionnement de l’équipe. Par exemple, le recrutement de talents est minutieux. « On s’est interdit de faire rentrer des talents qui avaient moins de 120.000 followers », indique le cofondateur. Il dira quelques minutes plus tard dans ce même épisode à Pia Wurtzbach que « dans notre agence, on dit que pour un million d’abonnés, on doit gagner 1 million par an. » Rappelons-le, elle en réunit 15 millions.

We Are Influence a aussi voulu montrer au travers de cette série, comment les créateurs en interne sont chouchoutés. L’ancienne Miss Univers a toujours rêvé de monter les marches du Festival de Cannes. L’équipe va se démener pour l’emmener avec eux. La suite est de la faire apparaître aux défilés de la Fashion Week et de la faire collaborer avec des marques prestigieuses. D’un autre côté, il est également possible de suivre Paul Duchemin, un coiffeur suivi par près de 80.000 personnes sur Instagram et qui s’occupent de belles célébrités. Son ambition est d’entrer dans l’agence. Challenge: il doit réussir à atteindre les 100.000 abonnés.

La sortie de cette série bénéficie à l’agence qui travaille sa notoriété et son image de marque, mais les créateurs y voient une opportunité. Iris Mittenaere évoque à de nombreuses reprises la sortie de sa marque. Kenza El Glaoui tease aussi un projet qui devrait bientôt voir le jour. De son côté, Diego El Glaoui ne mâche pas ses mots. « On a un plan de développement qui est à l’international », conclut-il.

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