BeInfluence, l’agence d’influence belge qui n’a pas chômé durant l’été

BeInfluence, l’agence d’influence belge qui n’a pas chômé durant l’été

Influence marketing. Les réseaux sociaux ne s’arrêtent jamais. Le secteur du marketing d’influence a été mis au ralenti durant le confinement mais n’a jamais connu des mois d’été aussi chargés. Les campagnes d’influence se sont multipliées entre juin et août. Certains projets dévoilés durant ces moments-là étaient prévus plus tôt dans l’année, d’autres ont été pensés en plein milieu de la crise sanitaire.

Le confinement n’a pas été une période creuse pour tout le monde. Si plusieurs études prévoyaient une baisse de 20 à 30% des dépenses publicitaires dans les mois à venir, certains annonceurs ont décidé au contraire de lancer leur communication sur les réseaux sociaux. Et ça n’est pas l’agence belge spécialisée en marketing d’influence BeInfluence qui dira le contraire. Entre la mi-avril et la fin du mois de mai, elle a gagné une dizaine de nouveaux budgets. Les Glaces Franklin, Stabilo ou encore le Gouvernement Fédéral font partie de ses clients.

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Des campagnes d’influence qui s’enchaînent

La saison estivale a donc été chargée pour l’agence qui a enregistré une douzaine de campagnes durant cette période. Cette activité est la plus forte enregistrée par la société depuis sa création en 2017.  « Toutes les campagnes ont été décidées soit pendant le confinement soit en juin pendant le déconfinement », précise le cofondateur de BeInfluence, Thomas Angerer au magazine Les Gens d’Internet. Si les projets avaient la période en commun, les messages véhiculés étaient différents. Carrefour Belgium a communiqué sur le local. Le Gouvernement Fédéral a rappelé la bonne attitude à avoir face au covid-19. Quant aux Glaces Franklin, la saison s’y prêtait parfaitement!

Les campagnes imaginées à cette période se sont adaptées aux nouvelles exigences des annonceurs. « Il n’y a pas énormément d’évolution dans les campagnes, si ce n’est le recours amplifié aux lives, à TikTok et une diminution drastique des évènements en physique. De plus en plus de clients veulent travailler avec des nanos et micro-influenceurs, ce qui est tout bon pour nous. Peut-être à cause de ce qu’ils ont vu durant le confinement justement », détaille Thomas Angerer. En cette rentrée, BeInfluence continue sur cette lancée avec une dizaine de nouvelles campagnes.

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