Le coup de gueule de Gaëlle Garcia Diaz contre YouTube
YOUTUBE – La plateforme de vidéo en ligne a mis en colère Gaëlle Garcia Diaz dès le 1er jour de l’année. Sa dernière vidéo, Episode 47 : Je transforme la soeur de Jimmy en tchoin, a été supprimée de YouTube car le contenu a été jugé inapproprié. Dans une série de tweets, que tu peux retrouver ci-dessous, la YouTubeuse se dit « dégoûtée de YouTube », avec une démotivation qui « est à son plus haut point. Merci Youtube ».
Gaëlle est connue pour avoir un langage assez cru dans ses vidéos ce qui ne plait pas à l’entreprise américaine. Ses vidéos ne sont pas monétisées, maintenant elles peuvent donc être carrément supprimées ce qui insupporte la Belge. Mais elle n’est pas prête pour autant à se conformer « aux normes, vous dire ‘salut les filles j’espère que vous allez bien' ».
Bonne année… pic.twitter.com/cGn5kWRCS7
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 1 janvier 2018
Je suis tellement dégoûté de YouTube. Je pense sérieusement à arrêter. Quel perte de temps et d’énergie.
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 1 janvier 2018
Je n’ai pas envie de me conformer au normes, vous dire « salut les filles j’espère que vous allez bien ». Ma communauté YouTube pour moi ces mes potes. Quand je parle à mes potes / mes copines, je le fais comme dans mes vidéos.
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 1 janvier 2018
Mes vidéos sont soit démonétisées, soit signalées (limite d’âge) et maintenant carrément supprimées de ma chaîne pour contenu « inapproprié ». Malheureusement c’est hors de question que je devienne ce que je ne suis pas.
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 1 janvier 2018
Que je ne deviendrais jamais riche avec YouTube c’est plus un secret… mais que mon travail soit carrément effacé, alors que c’était clairement une des vidéos les moins vulgaires que j’ai pu poster: non. La démotivation est à son plus haut point. Merci Youtube.
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 1 janvier 2018
YouTube fait très attention aux vidéos postées sur son site à la suite de menaces d’annonceurs de se retirer de la plateforme. Ces derniers avaient vu leurs publicités diffusées avant du contenu violent et pouvant être censuré. Pour résoudre ce problème, l’entreprise démonétise et supprime les contenus qui ne rentrent pas dans la « norme ». Gaëlle en a donc fait les frais…