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5 chartes pour encadrer le métier d’influenceur qui existent déjà

Influence marketing. Actuellement, le ministère de l’économie effectue un travail pour mieux comprendre comment le secteur de l’influence est structuré. À l’issue de ces réunions, l’objectif est de tenter d’encadrer le métier d’influenceur pour faire en sorte que des dérives, comme des placements de produits inappropriés ou des arnaques, ne continuent d’être partagées sur les réseaux sociaux sans véritable sanction. Pour mettre en oeuvre cette proposition de loi, des acteurs comme l’UMICC, ont partagé leurs propositions.

En parallèle, Quentin Bordage, fondateur de chez Kolsquare, a indiqué dans sa récente newsletter, les différents points qu’ils souhaitaient voir apparaître dans cette proposition de loi. Il est spécifié dans sa demande, que le partenariat doit être énoncé clairement, limiter à 30% le contenu promotionnel des créateurs ou encore interdire toute pratique déloyale et trompeuse. L’ensemble de ces indications sont à retrouver dans la capture écran ci-dessous.

kolsquare charte influenceurs

L’UMICC ou encore Kolsquare ne sont pas les seuls à avoir fait des propositions pour encadrer au mieux le secteur de l’influence. Depuis plusieurs années déjà, des chartes déontologiques existent. En voici 5 diffusées récemment.

Découvrez 5 chartes destinées à rendre plus transparents les partenariats entre les influenceurs et les marques

Surconsommation, voyages à tout-va, partenariat avec des entreprises qui ne se soucient pas de l’avenir de la planète… Les critiques adressées aux influenceurs et à leur métier sont nombreuses. Parce qu’il est temps de les faire évoluer et de faire en sorte que leurs activités s’inscrivent dans l’urgence climatique, les collectifs Paye ton influence et À quand demain ont dévoilé le 14 septembre leur « Charte éthique de l’influence responsable« . Dans ce document d’une dizaine de pages, les équipes ont listé les comportements à avoir pour que son influence réponde aux mieux aux enjeux actuels.

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L’association souhaite aider les jeunes consommateurs à ne plus se faire avoir sur les réseaux sociaux, et à ne plus commander des produits promus par des utilisateurs peu scrupuleux. Pour éviter que ces arnaques perdurent, l’UFC Que choisir a partagé un code de bonne conduite à destination du consommateur pour ne plus tomber dans le panneau. Pour compléter ces informations, l’équipe a également pris le soin d’éditer une charte pour les influenceurs

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Pinterest souhaite rester coûte que coûte une plateforme bienveillante et inspirante. Pour continuer dans cette voie-là, l’application a présenté en avril 2021 sa « charte des créateurs« . Il s’agit d’un ensemble de règles afin de « créer un environnement digital positif pour les créateurs. » L’objectif est de lutter contre la négativité. Ce document regroupe 5 grands principes. Les influenceurs doivent les accepter avant, par exemple, de se lancer dans la création des « Epingles Story ».

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Le SRCP a dévoilé au mois de novembre 2020 une charte de la relation influenceur. Elle a été signée par 51 agences adhérentes et par les professionnels membres du SYNAP. près avoir discuté avec des agences, différentes pratiques ont émergé. « Il y a un enjeu de clarification, de trouver une posture ferme sur ce sujet et d’accompagner l’évolution du marché en partageant les bonnes pratiques », poursuit-elle. Cette charte a un double objectif, celui de la crédibilité et de la confiance. « Plus il y aura de la confiance, plus il y aura des collaborations avec les influenceurs. »

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En mars 2019, le Conseil d’Administration de l’agence WOÔ, l’Atelier des Influences, a décidé de créer « un Comité d’éthique » et de mettre en œuvre une Charte de déontologie qui garantit une totale transparence des actions ». Cela s’est traduit par une publication d’une charte éthique du marketing d’influence. Cette Charte a pour objectif de mieux encadré les campagnes d’influence de leur élaboration à leur mise en ligne. Elle a été rendue publique en janvier 2020.

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