Quand publier sur LinkedIn en 2025 selon Buffer?
LinkedIn. L’année 2025 voit LinkedIn plus que jamais au cœur de la stratégie des créateurs de contenu, professionnels et des marques. La plateforme professionnelle par excellence est désormais un véritable moteur de visibilité dès lors qu’on comprend ses fondamentaux, notamment la fréquence et le timing des publications. Mais quand publier sur LinkedIn?
Pour répondre à cette question, la plateforme Buffer s’est appuyé sur une analyse de plus de 2 millions de publications issues de 94.000 comptes LinkedIn, pour déterminer comment le rythme et les horaires influencent véritablement la portée, les impressions et l’engagement. Cette étude a été publiée le 28 août dernier. Elle a été réalisée par Julian Winternheimer, Data Scientist de la plateforme.
Les conseils de Buffer pour publier sur LinkedIn au bon moment
Dans cette étude, Buffer se concentre sur des questions que se posent les utilisateurs. La première étant « combien de publications doivent être mises en ligne pour maximiser sa visibilité? ». Pour que l’algorithme mette davantage en avant vos contenus, la plateforme conseille de passer de 1 publication, à 2 et 5 par semaine. De cette manière, l’algorithme de LinkedIn commence à distribuer les contenus à une audience plus large et les résultats doivent augmenter: 1182 impressions supplémentaires et +0,23% du taux d’engagement par rapport à une publication hebdomadaire.
« Les comptes qui se limitent à un seul post par semaine enregistrent systématiquement des performances inférieures à leur propre moyenne d’engagement, et ce, sur l’ensemble des indicateurs étudiés. Passer d’un post à 2 à 5 posts par semaine entraîne des gains significatifs en matière d’engagement, sans nécessiter une dépense excessive d’énergie pour produire davantage de contenus », précise ainsi Julian Winternheimer.
Une autre question qui peut venir ensuite est « que poster comme format sur LinkedIn? ». Aujourd’hui, le réseau social offre un large choix, puisque l’on peut écrire, mettre des images ou bien poster de la vidéo. L’analyse de Julian Winternheimer précise que les publications textuelles sont le moyen le plus simple de se faire remarquer, que les images génèrent environ 72% de taux d’engagement supplémentaire, que les vidéos surpassent légèrement les images en terme d’engagement et que les carrousels sont les grands gagnants. « Ils génèrent 278 % d’engagement en plus que les vidéos, 303 % de plus que les images et près de 600 % de plus que les publications textuelles », précise-t-il. Enfin, les publications avec des liens « enregistrent systématiquement le taux d’engagement médian le plus bas ».
L’idée de cette étude n’est pas de pousser les utilisateurs à poster davantage. « Postez autant que possible, tant que la qualité reste élevée », conclut Julian Winternheimer.
Pour retrouver l’étude complète de Buffer, rendez-vous ici.
