Pour Halloween, Antton Racca imagine une publicité avec Aldi

Pour Halloween, Antton Racca imagine une publicité avec Aldi

Influence marketing. Pour certaines marques, l’influence marketing est au cœur de leur communication. Cette méthode leur permet d’imaginer des campagnes toujours plus créatives, avec des visages familiers pour les utilisateurs, ce qui leur permet de créer un lien entre les consommateurs et leur image de marque. Depuis un an, la chaîne de supermarchés de hard discount Aldi utilise cette stratégie pour gagner en visibilité, en sponsorisant l’équipe d’esport de Squeezie, Gentle Mates, ou en développant le compte TikTok avec une équipe d’influenceurs.

Pour aller encore plus loin, et pousser d’un cran la créativité, Aldi a fait appel à Antton Racca, qui possède plus de 5.7 millions d’abonnés sur TikTok. Il est surtout connu pour ses vidéos autour du cinéma, ainsi que pour ses courts-métrages. Avec la marque, ils ont imaginé une publicité façon film d’halloween. La campagne a été imaginée et gérée par TBWA/Mogul.

« Massacre à la fin du mois », le nouveau court-métrage d’Antton Racca et de Aldi sur les réseaux sociaux

La publicité a été dévoilée le 23 septembre sur les réseaux sociaux du créateur de contenu et de la marque. Un trailer de 15 secondes est disponible sur le compte TikTok d’Aldi et pour visionner le film en entier, il faut se rendre sur les profils d’Antton Racca. Le projet s’intitule « Massacre à la fin du mois », et reprend les codes classiques du film d’horreur, avec un tueur, la fin du mois, une ambiance sombre et des effets sonores stressants, l’image parfaite pour plonger les utilisateurs dans l’ambiance macabre d’Halloween.

Dans une publication LinkedIn, Paul Douard, Creative Director chez TBWA/Mogui, révèle que le contenu a nécessité « 48h de tournage, la nuit », avec une grosse équipe, comme en témoigne la liste des professionnels dans la description. Avec cette publicité, le message de la marque est clair: Aldi souhaite se positionner comme la marque de hard discount la moins chère, pendant que les autres consommateurs se font « massacrer » à la fin du mois.

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