Les nouvelles règles YouTube : ce qu'en pensent les YouTubeurs
YOUTUBE – Ca ne t’a certainement pas échappé mais YouTube a annoncé cette semaine quelques changements. Ils concernent notamment la monétisation des vidéos. Avec ces annonces, la plateforme souhaite ainsi rassurer les annonceurs et montrer qu’elle sait rebondir après des bad buzz comme celui de Logan Paul.
Qu’est-ce qui va changer concrètement? Voici en 3 points les modifications opérées sur YouTube (sans entrer dans les détails):
- pour adhérer au Programme Partenaire YouTube, les chaines devront avoir au minimum 1000 abonnés et avoir enregistré 4000 heures de visionnage sur leurs vidéos au cours des 12 derniers mois. Avant, il suffisait « simplement » d’avoir 10 000 vues.
- l’offre de Google Prefered Premium va aussi être modifiée. Ce sont les vidéos qui apparaissent dans la partie tendance. Désormais, elles seront sélectionnées à la main. Plus de risque donc de retrouver du Logan Paul filmant un cadavre ! A noter aussi, que lorsqu’une vidéo est approuvée, elle peut être monétisée mais pas avant.
- pour les annonceurs, YouTube propose un système de niveaux pour qu’ils notent leur niveau de confort sur les thématiques où apparaissent leur publicité.
La presse a énormément parlé de ces différents changements, mais qu’en pensent les intéressés eux-mêmes, à savoir les YouTubeurs? Certains se sont exprimés sur Twitter comme tu peux le voir ci-dessous.
Pour ceux qui me demandent à propos des changements YouTube, sachez que les 5 dernières vidéos que j’ai postées, les musiques sont copyright donc je ne gagne rien. Mais je trouve ça tellement dommage que à cause d’un ou deux personnes en 2017, ça pénalise tout le monde maintenant
— Anil – Wartek (@AnilBrancaleoni) 18 janvier 2018
Avec la nouvelle règle de monétisation de @YouTube, me dites qu’ils cherchent à mettre en avant les petits créateurs hein.
— Tiffany Kats 🐱⚡️ (@Tiffanymal) 17 janvier 2018
Et voici officiellement la 42ième video démonétisée de ma chaîne 💕 ça se fête non? pic.twitter.com/SOlMcWzxWG
— Gaëlle Garcia Diaz (@GaelleGD) 17 janvier 2018