Marketing. Dans un univers nouveau comme l’influence marketing, difficile de ne pas faire des erreurs. Pour aider les agences et les marques à travailler convenablement avec les créateurs de contenu,
C’est après avoir travaillé avec certaine marque au cours de ces derniers mois, que l’entrepreneuse s’est rendue compte que 5 réflexes revenaient régulièrement mais étaient absolument à proscrire. Les voici.
1. Privilégier le taux d’engagement, pas le nombre d’abonnés
Arriver sur un compte avec 100.000 abonnés donne facilement envie aux annonceurs de collaborer avec le créateur de contenu. Mais s’ils ne vont pas plus loin, ils peuvent déchanter lorsqu’ils analyseront le ROI (return on investment) de leur campagne… Pour savoir si le public d’un influenceur est réceptif à son contenu, il faut se pencher sur plusieurs autres chiffres: le nombre de j’aime sous les publications, le nombre de commentaires, le nombre de vues en story etc.
2. Ne pas oublier le lien dans le profil
Avec les différentes fonctionnalités d’Instagram, l’influenceur peut mettre des liens un peu partout. En ce moment, il privilégie ceux dans les stories où il suffit à son abonné de « swiper vers le haut ». D’après la fondatrice de l’agence
Ce lien peut aussi venir compléter celui publié en story. « Toutes ces fonctionnalités stimulent l’engagement, et elles sont toutes des éléments importants pour une campagne d’influenceurs réussie », conclut
3. Facebook Ads peut s’avérer utile
Avec Instagram, on en oublierait presque Facebook! Pourtant, pour l’entrepreneuse, il est important de continuer à publier sur le réseau social, « la plus grande plateforme sociale au monde ». Elle met cependant en garde, les contenus sont de moins en moins visibles et le taux d’engagement ne fait que baisser.
Pour pallier à ce problème, l’Américaine conseille d’utiliser l’outil de publicité Facebook pour booster son contenu avec un influenceur. De cette manière, le contenu saura toucher sa cible.
4. Analyser le public de l’influenceur
Chaque influenceur a sa patte et une communauté différente. S’il est conseillé aux annonceurs de bien étudier son profil pour connaître ses goûts et son taux d’engagement, il ne faut pas non plus oublier d’analyser les personnes qui le suivent. Une influenceuse lifestyle de 25 ans ne sera peut-être pas seulement suivie par des femmes de la même tranche d’âge.
Pour étudier la communauté d’un créateur de contenu, des outils comme HypeAuditor permettent de connaître en quelques clics: l’âge, le pays, par quels types de personnes il est suivi (influenceur ou pas) etc.
5. La vidéo n’est pas si coûteuse
Selon une récente étude publiée par Webfx, 80% du contenu consommé en ligne cette année sera de la vidéo. Il est donc fort conseillé aux annonceurs, d’imaginer une campagne de ce type. Si certains pensent que le coût sera très élevé,
En plus de pouvoir partager ses contenus sur les différents réseaux sociaux de l’influenceur, la marque peut aussi en posséder les droits et s’en servir pour sa propre communication.
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