Influence marketing. Avec la crise sanitaire, beaucoup de vies professionnelles ont été chamboulées. Il a fallu s’adapter et trouver des solutions pour perdurer malgré le confinement, toucher de nouveaux clients et faire tourner les entreprises. C’est pourquoi certaines ont choisi de se lancer dans le marketing d’influence. Les réseaux sociaux attiraient alors l’attention d’un grand nombre de personnes. Mais peut-on dire que le secteur de l’influence s’en est bien tiré?
C’est la question que s’est posée l’équipe de Linqia à la fin du mois d’avril. 163 professionnels du marketing et de la communication évoluant dans différents secteurs ont été interrogés pour mener l’étude « The State of Influencer Marketing 2021« . Ils ont partagé à la plateforme américaine spécialisée dans le marketing d’influence, la manière dont ils vont avoir recours aux créateurs de contenu ces prochains mois. Sans surprise, la part du budget alloué aux projets d’influence prend une place plus importante dans les plans marketings.
3 évolutions à noter dans le secteur du marketing d’influence
Voici les trois gros points à retenir de cette nouvelle étude. Revenons tout d’abord au budget. Les entreprises font de plus en plus confiance aux créateurs de contenu, si bien que leur investissement dans cette stratégie augmente. « 71% des marketeurs d’entreprise qui savaient comment le budget marketing serait alloué en 2021 ont déclaré que leurs budgets de marketing d’influence allaient augmenter par rapport à 2020. Il s’agit d’une forte augmentation par rapport à notre rapport de 2020, où seulement 57% ont déclaré qu’ils prévoyaient d’augmenter leur budget », indique-t-on dans l’étude.
Cet argent n’est pas utilisé n’importe comment. Les entreprises sollicitent davantage les micro-influenceurs. « Les micro-influenceurs ont toujours été le premier choix des spécialistes du marketing dans notre enquête annuelle, mais cette année, la demande pour cette puissante catégorie était encore plus forte. Dans notre nouvelle étude, 90 % des spécialistes du marketing ont sélectionné qu’ils voulaient travailler avec des micro-influenceurs, contre 80 % en 2020 », confie l’équipe de Linqia.
Pour mener ces campagnes, entre 5 et 10 influenceurs sont activés en moyenne. L’objectif avant tout est de donner davantage de puissance à un message que s’il avait été partagé par une seule personne.
Pour lire l’enquête complète, rendez-vous sur cette page.