Influence marketing. Les stratégies d’influence ne sont pas faites pour toutes les marques. Les annonceurs doivent avant tout réfléchir à une question: est-ce que faire appel à un influenceur peut me permettre d’atteindre mes objectifs? Mais certaines fois, si la réponse peut être « oui », les entreprises sont freinées par bien d’autres problématiques. C’est ce que révèle la sixième édition de l’étude de Reech sur le secteur de l’influence. Pour cette nouvelle année, la plateforme s’est associée à l’ARPP et à l’Union des marques. En plus des créateurs de contenu, des marques et des agences ont également été questionnées. Au total, plus de 600 répondants ont été enregistrés.
Pour une grosse majorité des personnes sollicitées, le marketing d’influence est considéré comme « un levier efficace ». 70% d’entre eux estiment que cette stratégie va prendre davantage de place dans les années à venir. Pourtant, les marques interrogées ne multiplient pas les partenariats avec les influenceurs pour de nombreuses raisons. Quelles sont-elles?
Manque de connaissances, manque de budget… découvrez les 8 raisons évoquées par les marques
Reech a listé les huit problématiques rencontrées par les annonceurs lorsqu’ils veulent se lancer dans une campagne de marketing d’influence… mais qu’ils se retrouvent rapidement bloqués. La première raison qui les pousse à faire marche arrière concerne le budget. Pour 44% des répondants, les sommes allouées pour ce type de projet ne sont pas assez élevées pour les mettre en place.
Si cette première raison semble être logique, la seconde est plus étonnante. Pour 39% d’entre eux, le marketing d’influence ne se prête pas à leur secteur d’activité. Aujourd’hui, de nombreuses thématiques sont couvertes sur les réseaux sociaux par des créateurs très spécialisés. Il y a certainement une cible à aller atteindre, mais ces annonceurs ne savent pas comment s’y prendre.
Cette analyse rejoint la troisième problématique évoquée. 22% d’entre eux manquent de connaissances dans le secteur pour parvenir à mettre en place des stratégies efficaces. Pour la suite, la personne interrogée ou sa direction ne sont pas convaincues de l’efficacité d’un tel projet. Pour 7% des répondants, aucune raison particulière n’a été soulignée. Pour le reste, ils n’y ont jamais songé.
L’intégralité de l’étude est à télécharger ici.